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8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 14:33

mess_by_1juu-d3i0asi.jpgAujourd’hui l’adultère n’est pas une raison suffisante pour divorcer. En revanche, le manque de sexe, si !


Il y en a qui ne perdent pas le nord. Une boite de production de films porno est en train de construire un bunker dans lequel faire la fête le jour de la fin du monde, c'est-à-dire, selon le calendrier maya (les pornstars sont très portées sur les prévisions mayas) le 21 décembre 2012. Petit plus : les sites Internet de la boite seront accessible pendant l’apocalypse. Si c’est pas le pied, ça…

 

Tout s’explique enfin ! Quand monsieur manque de mourir d’un simple rhume, il ne fait pas semblant, non, il est simplement plus vulnérable que la femme à ce type de microbe. Puisque c’est scientifique, on vous dit !

 

Tout s’explique enfin ! Les filles ne jouent pas les idiotes uniquement pour plaire aux hommes, mais aussi parce qu’elles aiment ça (et que c’est vachement moins fatigant que de jouer les intelligentes. Des fois, mettre son cerveau en sommeil, c’est bon. Alors si en plus ça permet de séduire, pourquoi se priver ?).

 

Il paraitrait que les femmes de pouvoir sont celles qui font le moins fréquemment l'amour. C'est bizarre, mais je ne peux pas m'empêcher d'avoir une pensée pour Christine Lagarde en lisant ça...

 

C’est la plus mauvaise idée du mois, voire de l’année : l’IVG en kit en vente sur Internet. Surtout n’achetez pas.

 

C’est peut être rien que des mensonges mais c’est quand même sympa à lire, ces témoignages des choses les plus folles que vous avez faites par amour (je suis certaine que le coup de la fille qui avale une araignée est vrai…)

 

Il paraitrait qu’au 9B, le nouveau bar qui vient d’ouvrir à Paris Belleville, on peut échanger ses amis célibataires lors des soirées « Troc my friends ». Je n’arrive pas à déterminer si c’est une bonne ou une mauvaise idée…

 

Illustration :

Mess by ~1juu on deviantART

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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 09:40

Ca bouge sur le blog Chabadabada, c'est un truc de malade. En fait, entre chaque pause, une nouvelle rubrique nait, c'est pas magnifique ça ?

J'inaugure donc une nouvelle catégorie, baptisée  "Y a pas que le texte dans la vie", qui me permettra de poster des vidéos, parce que quand même le Web, c'est du rich média.

On commence avec Bref, que si vous ne l'avez jamais vu c'est que vous êtes perdu au fond d'une grotte, sans eau, sans électricité et surtout sans télé ni connexion Internet. Cet épisode, c'est du Chabadabada au masculin, avec encore cette satanée règle des 3 jours qui revient !!!

Enjoy, parce que quand même, c'est vachement bien

 

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4 octobre 2011 2 04 /10 /octobre /2011 12:35

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Attention, ceci est un article qui fait preuve de misandrie (je ne sais pas comment décliner misandrie et le transformer en adjectif. D’ailleurs, je me la pète parce que la misandrie je ne savais pas que ça s’appelait comme ça avant de faire une recherche Wikipédia sur « c’est quoi la misogynie mais pour les femmes qui s’énervent contre les hommes ? »).

Attention donc, monsieur, si tu ne veux pas être traumatisé, arrête de lire tout de suite. Je t’aurais prévenu. Merci.


« Pourquoi les hommes, ils laissent trainer leurs chaussettes sales par terre, et leurs caleçons aussi d’ailleurs ? Pourquoi les hommes, ils ne font jamais la vaisselle ? Pourquoi mon homme il n’est pas exactement tel que je voudrais qu’il soit ? » me dit un jour So’ au détour d’une conversation sur le thème « les hommes qu’est ce qu’on les aime mais en même temps, qu’est-ce qu’ils sont relou ».


Effectivement, on peut déjà commencer par dire que la vie est mal faite, parce que les hommes ne sont pas parfaits, contrairement à nous, les femmes, qui sommes des êtres merveilleux, pas loin de la princesse des contes de fée, mais avec plus de caractère, parce que les princesses elles sont quand même un peu gentillettes. On serait en droit d’attendre notre prince donc, ce serait normal. Mais non, la vie, en plus d’être mal faite, n’est pas logique. Ca fait beaucoup pour une seule vie, on est d’accord.

Bref. « Good question », donc, j’ai répondu (je suis fluent in english, je précise au cas où il y en aurait qui aurait oublié mes nombreux talents). Une question que toutes les filles se sont certainement posée un jour. Parce que toutes les filles, ne dites pas le contraire, ont un homme qui laisse trainer ses chaussettes et ne fait pas la vaisselle (ou ne vide pas le lave-vaisselle, ça dépend si vous êtes riche ou pas, jeune ou pas, et avec une cuisine équipée ou pas… bref.). S’il fait la vaisselle, il ne repasse pas. Ca revient au même. Mais ne nous égarons pas, revenons à nos moutons, ou plutôt à nos hommes, qui sont loin d’être des moutons sinon ils feraient ce qu’on leur dit de faire (la vaisselle, donc, et ramasser leurs chaussettes, suivez, un peu !), et ce serait plus simple.


En même temps, si on y réfléchit, et si on remonte un petit peu en arrière, quand on n’était pas là, l’homme rangeait. Si je me souviens bien. Un peu. En tout cas, plus souvent que depuis qu’on est dans sa vie. Quand on allait le voir dans sa garçonnière, il n’y avait pas de chaussettes par terre (on n’a peut être pas trop regardé sous le lit non plus, mais bon…), ni de vaisselle sale dans l’évier. Le truc, c’est que c’est, encore une fois, une question de timing. Comme plein de choses dans la vie.


Attention, révélation :

Ce n’est pas que l’homme ne range pas.

C’est qu’il ne range pas au même rythme que nous.

Ah !


L'homme n'est pas calculateur au point de se dire que sa femme va ramasser ses trucs sales. Ou pas vraiment en tout cas. Il se dit peut être que « quelqu’un » va ramasser à sa place et que c’est tant mieux, mais ce n’est pas contre nous. L'homme ne calcule pas, justement, il jette ses chaussettes sans penser aux conséquences (la détresse de sa femme, donc, face aux chaussettes).


L’homme supporte simplement plus longtemps le bordel. Plus tard, il verra le tas de chaussettes, et il se dira « oh ça fait beaucoup de chaussettes sales. C'est pas très bien rangé ici. Il faut que je m'y mette. » Comme il a de la chance et que sa femme, comme toutes les femmes, est un être merveilleux, il n’a pas le temps de se dire ça, ses chaussettes sont déjà ramassées.


Après, le grand mystère pour lui c’est pourquoi sa femme se met à hurler. Parce qu’il ne lui a pas demandé de ranger, lui. Mince alors ! La vie est injuste, et sa femme n’est vraiment pas facile à vivre, dis donc, bien loin de la princesse qu’il pensait avoir épousée. Il se dit.


Le truc, c’est que, si tout va bien, si on a un peu vécu, si on n’est pas trop naïve, nous les femmes, on a fait une croix sur le prince charmant. Ce n’est pas qu’il n’existe pas, c’est qu’il est moins charmant que ce qu’on croyait au départ, quand on était petite. Il est beau, mais pas très riche. Il est intelligent mais pas très beau (on dit « plein de charme)… Il est drôle mais grognon le matin. Il est super doué au lit mais il ne range pas ses chaussettes. Par exemple.

Le « tout-en-un » beau-riche-célèbre-intelligent-drôle-généreux-jamais grognon, on a bien compris que ça n’existe pas. Et si ça existait, il serait forcément infidèle, bah tiens. Donc notre homme, on l’aime comme il est. Malgré ses défauts. Et si ça implique de ramasser ses chaussettes une fois qu’on l’a trouvé, on le fait. Même si ça nous fait hurler. Même si c’est très loin de notre vision féministe du couple et de notre statut de princesse. Et même s’il ne faut pas le dire aux autres, des fois qu’il y en ait qui rangent sans qu’on ne leur demande rien.


Ceci était un article "pro-homme" en fait. On dit merci.

 

Illustration:
 

 In A Dream by ~DaggeH on deviantART

 

  

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 14:31

Pregnancy_by_niavaah.jpgLa grossesse et la maternité, c’est plein d’idées reçues. Des idées qu’on se fait sur comment ce sera, comment ça va se passer, comment ça va tout changer dans la vie, mais aussi des idées qui sont colportées de génération en génération. Alors il y a des trucs vrais c’est sûr, je ne peux pas le nier. Oui mais, pas que… Et puis en général quand même, la vie est bien faite.

 

 

« Quand tu es enceinte, tu es insupportable avec ton entourage »

Oui, mais premièrement ça prépare ton homme à la patience, ce qu’il ne connaissait pas forcément avant cette période bénie. Et il en aura besoin, de la patience, quand le nouveau-né tant attendu aura décidé de ne pas dormir par exemple, ou de ne pas arrêter de pleurer. Deuxièmement, ça te rappelle ton adolescence que tu avais un petit peu oubliée, ça te remémore les soudaines poussées d’hormones qui font que, tu ne sais pas pourquoi, tu ne peux pas t’empêcher de hurler ou de pleurer pour des petites choses. De « Oh mon dieu, le métro vient de quitter le quai quand j’arrive, c’est affreux, le monde est injuste ! » à « Mais pourquoi ma mère est insupportable / idiote / méchante / collante / souriante / aussi gentille (rayez la mention inutile) comme ça, ça m’énerve ! ». Et c’est bien que ça te fasse une piqûre de rappel de ton adolescence, parce qu’il y a des chances que dans 12 ans environ, ton nouveau-né te fasse le même coup. Moralité, la vie est bien faite.

 

« L’accouchement, c’est le plus beau jour de ta vie »

Oui, mais c’est aussi le jour où tu découvres ce que c’est qu’une contraction. Ce qui est chouette c’est que tu découvres un truc nouveau, et que tu pourras ensuite frimer devant ton homme : « Ouais, c’est bon, tu ne sais pas ce que c’est qu’une contraction, ta rage de dents elle peut aller se rhabiller, à côté c’est du pipi de chat, franchement. » Tu pourras aussi partager ça avec les autres mères, sur le mode Ouais on a fait le Vietnam mais on en est sorties : « Tu as eu une péridurale toi ? A combien de dilatation ? 6 seulement ! Moi je l’ai eue à 8, hé hé, je peux te dire que je l’ai sentie passer, la contraction à 150, même que ça a limite fait péter le monitoring. Remarque que Gérard, il la sentie passer aussi, vu comment je lui ai broyé le bras, ha, ha. En même temps, il peut pas se plaindre, hein, pour un petit broyage de bras de rien du tout, ho, ho, la chochotte ! ». Quand ton nouveau-né débarque, tu es tellement soulagée que tu le trouves magnifique, même s’il a une tête d’extraterrestre. Moralité, la vie est bien faite.

 

« L’accouchement, c’est une boucherie »

Oui mais si tu te dis ça, ce sera forcément moins pire que ce que tu imagines. Moralité, la vie est bien faite.

 

« Quand tu as un enfant, dis adieu aux grasses matinées. »

Oui, mais ce qu’on ne dit pas, ou pas trop, ou si peu, c’est que les deux premières semaines de vie du nouveau-né (et quand je dis deux semaines, je suis super optimiste, c’est pour éviter de faire peur à celle qui aurait envie d’enfanter), tu ne dors pas du tout, ou si peu. Les deux premières semaines, le nouveau-né il ne comprend pas trop où il est, ni ce qui lui arrive, et pourquoi il n’est plus au chaud, dans l’eau, bien peinard. Pourquoi il y a le jour. Pourquoi il y a la nuit. Pourquoi il y a du bruit tout autour. Comment on fait pour téter. Etc. Le nouveau-né est un peu perdu. Du coup, il pleure. Souvent. Et du coup, il ne veut dormir que sur sa mère. Eventuellement sur son père si tu as de la chance. Et par à-coups, pas des grandes tranches de sommeil de deux heures d’affilé, ce serait trop facile. En conséquence, les parents dorment très peu aussi. 10 minutes toutes les trois heures me parait être une bonne moyenne…

Du coup, quand le nouveau-né se décide soudain à dormir 5 heures d’affilée, voire plus, même s’il se réveille à 6h du matin tous les jours dimanche compris, c’est le bonheur intégral. La grasse mâtinée, tu ne sais plus ce que c’est, mais tu as vécu tellement pire que tu es contente de simplement dormir. Moralité, la vie est bien faite.

 

Illustration :

 Pregnancy by ~niavaah on deviantART

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 08:50

En_vrac_by_Twing0.jpgOn n’arrête pas le progrès, on n’arrête pas les changements, ça bouge sur le blog Chabadabada, c’est fou comme il se passe des trucs en ce moment !

Parce que certaines infos glanées çà et là sur le Web me paraissent intéressantes, mais n’inspirent pas tout un article, j’inaugure une nouvelle rubrique, « C’est court, mais c’est bon », que vous retrouverez dans la colonne de droite du blog. Des brèves, donc.

 

- Et si c’était aux garçons d’accoucher ? demande l’INPES (institut national de prévention et d’éducation à la santé). L’institut a imaginé des films où les rôles sont inversés, histoire de rappeler que la contraception se pense à deux. Les films sont visibles ici (avec des infos pas bêtes sur la contraception assorties de dessins de Pénélope Bagieu, franchement les organismes d’Etat ne sont plus ce qu’ils étaient, c’est à la fois léger et intelligent).

 

- Science-Po non plus n’est pas ce qu’on croyait. La prestigieuse école qu’on imaginait coincée du cul a sorti sa revue érotique. Et en plus, c’est beau, et en plus, c’est bien. 

 

- L'article qui révolutionne l'orgasme, et notre vision des choses. Non, il n’existe pas de femmes clitoridiennes et de femmes vaginales, parce qu’au fond (sic), le clitoris est toujours stimulé. Je n’explique pas bien, il faut lire : Orgasme clitoridien et orgasme vaginal : l'inutile débat

 

- Un peu de maths parce qu’il n’y a pas de raison, la culture générale, c’est important. Sachant qu’il y a 365 jours par an, et qu’il n’y a que 53 jours durant lesquels c’est la paix des ménages, combien de fois par an en moyenne les couples se disputent-ils ? Oui, ça fait peur, retournez tous au célibat, et plus vite que ça ! 

 

- Si tu me trompes avec une fille, ça peut s’arranger, dit l’homme. Ben voyons, dit la femme… 

 

- Mais bon, faut pas croire les études, elles nous prennent pour des connes (oui, le fait que Titiou ait choisi Gwendoline comme prénom pour sa femelle alpha explique en partie pourquoi cet article se retrouve dans mes brèves.) 

 

- Pour 150 euros d’achats, repartez avec des genouillères pour fellation, c’est ce que propose un magasin de jeans. Si je peux me permettre : 1- je trouve que ça fait cher la fellation, 2- je peux suggérer qu’on n’est pas obligé d’être à genoux ???

 

- Et le pire, c’est que c’est certainement une des raisons pour lesquelles les hommes aiment les réseaux sociaux (vidéo) ! 

 

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25 février 2011 5 25 /02 /février /2011 10:00

liar_by_movieaddict.jpgComme il est très important de cacher à tout le monde la bonne nouvelle (petit rappel : ceci est un flashback sur la vie de Papette avant l’arrivée en fanfare de Minouche. Si vous êtes perdu, il y a un « Rappel des personnage » un peu plus bas sur la droite du blog). Comme il est très important, donc, de cacher à tout l’entourage que, ouh la la, on va être parents, on est super content même si on a super peur aussi, avec Papet, on a développé des techniques de sioux.

Et comme je suis persuadé qu’on n’est pas les seuls futurs parents à avoir eu une vie dissolue faite d’alcools, de tabac et de sorties très tard le soir, je vous les donne, nos trucs. Pour nous, en tout cas, ça a marché (mais peut être que nos amis sont plus idiots que la moyenne, on ne sait pas après tout).

 

1-      Tes amis psychologiquement tu prépareras au fait que tu vas essayer d’arrêter de fumer très bientôt. A base, de « Je vais bientôt arrêter de fumer », « je diminue progressivement ma consommation », « j’en ai marre d’être esclave de la cigarette » ; « je n’en peux plus d’avoir les cheveux qui puent », « j’ai jamais voulu fumer après 30 ans », « mon dentiste m’a dit que mes gencives allaient bientôt tomber ». Bref, tous les arguments sont bons, et, objectivement, ce n’est pas ce qui manque. Le mieux, si c’est possible, c’est de commencer le lavage de cerveaux des amis plusieurs mois avant de tomber enceinte. Comme ça, ils ne sont presque pas surpris quand ça arrive.

 

2-      Des bières sans alcool tu trimbaleras dans ton sac, ou tu arriveras en avance au bar pour commander une bière sans alcool avant que tout le monde arrive, et tu demanderas au serveur de te donner un verre à bière et de cacher la bouteille. Ca marche assez bien comme technique, mais il faut être capable d’arriver en avance, ce n’est pas donné à tout le monde. Pour une soirée privée, les bières sans alcool dans le sac, c’est pratique. Il faut savoir un truc : les gens ne vous observent pas en permanence, contrairement à ce qu’on croit. Donc, on se met dans un coin, on se verse un verre de bière 0%, et personne ne se doute de rien. Oui, c'est contraignant, on n'a jamais dit que c'était facile non plus. Fallait pas être alcoolique.

 

3-      Ton homme, tu saouleras. Comme il n’est pas toujours possible d’arriver en avance ou de sortir discrètement une bière sans alcool de son sac, il est de bon ton que l’homme aie la capacité de boire pour deux. Pareil, il faut toujours se souvenir que, non, personne ne vous observe, vu que personne ne pense que vous avez quelque chose à cacher. Donc, discrètement, dès que le verre de l’homme est un peu vide, paf, on échange les verres. Et, de fil en aiguille, le verre devant vous se vide. Condition sine qua non : que votre homme tienne bien l’alcool parce que sa consommation explose sacrément, ce n’est pas forcément facile pour lui non plus, le pauvre. L’homme peut parfois être remplacé par une bonne copine, la seule à être au courant, quand c’est nécessaire.

 

4-      De tenues, tu ne changeras pas. Ce n’est pas parce que vous êtes enceinte d’un mois que vous avez déjà pris cinq kilos. Et même si vous avez pris un kilo ou deux, sachez que ça ne se voit pas. C’est dans ces moments là qu’on se demande bien à quoi ça sert de faire tellement attention à sa ligne vu qu’objectivement : personne ne vous regarde ! C’est seulement le jour où vous annoncez la bonne nouvelle à tout le monde que les gens regardent vaguement votre ventre et disent « ah oui, bah c’est pas flagrant » alors que vous ne pouvez plus fermer vos jeans depuis un mois déjà.

 

5-     Si tu vomis, tu es foutue. Parce que, franchement, si toutes les cinq minutes vous courez aux toilettes, et qu’en plus vous avez arrêté de fumer, plus personne ne vous regardera de la même manière. Et le coup de la gastro, ça marche une fois, mais après ça ne marche plus.

 

6-     Ne plus sortir, tu finiras peut être par choisir. Parce que regarder les potes se saouler en restant sobre n’est pas ce qu’il y a de plus drôle. Parce que, objectivement, vous aussi vous avez très envie d’un verre d’alcool, et vous avez juste envie de les tuer parce que, eux, ils ont le droit de boire. Parce que la grossesse, c’est vraiment une partie de plaisir. Vous vous souvez que vous êtes heureuse et comblée ? Répétez-le comme un mantra.

 

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22 février 2011 2 22 /02 /février /2011 18:52

the_party_by_8o_clock.jpgC’est marrant la grossesse. C’est un truc, on veut que ça arrive, on le veut, on le veut, on le veut. Le fait de faire un enfant, c’est un truc qui se décide à deux, et c’est comme un grand projet : on se jette dedans à corps perdu (littéralement), ce qui est plutôt sympa il faut l’avouer. Ce qui est moins sympa c’est qu’on ne sait jamais quand ça va marcher. Et que statistiquement, plus on vieillit, moins ça marche vite. En tout cas, nous, on était parti de ce principe là. On avait limite fait des statistiques.

 

Considérant que nous avons tous les deux plus de 30 ans, on s’était dit, un passé de vie dissolue, une hygiène de vie déplorable, à base d’heures de sommeil limitées, de tabac et d’alcool à profusion. Considérant tous ces paramètres, donc, autant s’y mettre tout de suite, de toute façon, ça ne marchera pas avant au moins un an. C’est une moyenne. C’est scientifique.

 

Bon, après, c’est juste une moyenne. Ca veut dire qu’il y en a qui mettent deux ans et d’autres deux mois. Nous, on a mis quatre mois. C’était beaucoup plus rapide que la moyenne. On ne s’y attendait pas. Du coup, quand on l’a appris on est passé par plusieurs stades.

 

D’abord, on a dit ouais c’est super, ça a marché, youpi, ça veut dire qu’on est encore super fertiles, youpi, ça veut dire qu’on peut fumer et boire et sortir tout le temps notre organisme est super fort, on est les meilleurs, on le savait, youpi !

 

Ensuite, on a dit, putain on va être parents, c’est une sacré responsabilité. On ne va plus vraiment pouvoir sortir comme on veut, on va devoir être raisonnable, entrer dans l’âge adulte en quelque sorte. Il faut bien que notre enfant ait des modèles quand même. Faut qu’on devienne des modèles, la vache !

 

Ensuite, moi j’ai dit, mince il faut que j’arrête de boire et de fumer. Et j’ai allumé une clope pour me rassurer, parce que ça m’a fait super peur d’un coup.

 

Papet, lui, il a ouvert une bière pour fêter ça. Et puis une deuxième. Je me suis dit que ça n’allait vraiment pas être une partie de plaisir, ces neuf prochains mois. J’ai allumé une autre clope, même si Papet a froncé les sourcils. Et j’ai dit fièrement que tous les médecins ils disent qu’il vaut mieux fumer plutôt que d’être stressée, que c’est encore pire pour le bébé d’être stressée, alors si c’est les médecins qui le disent c’est que c’est vrai.

Après j’ai dit que j’allais quand même arrêter de fumer, mais à mon rythme, faut pas non plus tout faire en même temps, c’est trop compliqué.

 

Ensuite on a regardé mon ventre et on n’a rien vu de spécial. Du coup c’était quand même assez difficile de ne pas boire un verre pour fêter ça, vu que d’extérieur, rien n’avait changé. Mais dans ma tête, j’étais déjà en train de devenir raisonnable, alors je n’ai pas bu.

 

Ensuite, on a réalisé que ça allait être super dur de le cacher aux amis. Parce qu’il faut le cacher pendant les trois premiers mois, c’est important, vu que rien n’est encore vraiment sûr à ce moment là, et que ce serait dommage d’annoncer une bonne nouvelle pour revenir dessus quelques temps après. Ce qui allait être dur, ce n’est pas de garder le secret, ça c’est bon, c’est facile, ce qui allait être dur, c’est de leur faire croire que je n’avais plus envie de boire, là, comme ça, d’un coup.

 

On a réalisé qu’ils n’allaient jamais gober ça. On a réalisé que je ne pouvais pas aller à une soirée et dire « non merci, ce soir je ne bois pas » ça paraitrait trop louche, je serais grillée tout de suite. On a réalisé que j’étais alcoolique.

 

J’ai eu envie de boire un verre presque immédiatement rien que parce que ça me stressait de ne pas pouvoir le faire. Du coup j’ai allumé une clope. Froncement de sourcils de Papet. J’ai allumé une clope quand même, zut alors !

 

On a réalisé qu’il allait falloir mettre au point une stratégie pour faire croire aux amis que je buvais normalement alors qu’en fait je ne buvais plus une goutte. On a réalisé que le fait que je n’arrête pas de fumer tout de suite était plutôt pas mal pour que personne ne se doute de rien. J’ai dit « Ouais tu vois faut pas que j’arrête tout de suite, sinon on va se faire griller direct ». Froncement de sourcils de Papet. Il ne va pas être commode comme père, j’ai l’impression…

 

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 18:56

Reflection_by_zhornik.jpgJe l’ai déjà dit plein de fois, les débuts de relation c’est compliqué. On ne sait pas ce que veut l’autre, du coup on n’ose pas montrer ce qu’on veut non plus, on se protège un maximum au cas où l’autre déciderait de se barrer d’un coup, ou, à l’inverse, on met des barrières pour éviter que l’autre ne s’attache. Et, pour en rajouter un coup dans le niveau de complication, sinon ce n’est pas drôle, on invente différentes versions de la même histoire. A la fin, on ne sait même plus nous-même ce qui est vrai… Les filles sont des êtres complexes (qui a dit « tordus » ?).

 

La version qu’on raconte au mec avec qui on débute une relation

« Je suis cool, mec, je suis super cool. Tu m’appelles ? Super. Tu ne m’appelles pas ? Super aussi. Tu veux sortir ? Super. En tête à tête ? Super. Avec tes potes ? Super. Tu ne me présentes pas tes potes ? Super. Je ne te présente pas les miens non plus, de toute façon. Je suis cool. J’aime bien passer du temps avec toi, mais si je n’en passe pas plus, ça me va aussi. Je suis indépendante. J’ai des activités à côté, un boulot, des copines, un planning. Tu t’insères dans le planning, ça me va. Sinon, je ferais sans toi… »

 

La version qu’on raconte au mec après quelques mois (semaines ?) à ce régime

« Ouais, je suis toujours cool, mec, mais, comment dire, je serais encore plus cool si la situation était claire entre nous. On est en couple, oui ou non ? Parce que bon, si tu ne veux pas être en couple avec moi, je pense que ça ne me convient pas en fait. Ca me perturbe trop dans mon système de valeur, mon planning, tout ça. Alors ? On est dans une vraie relation là ou quoi ? »

 

La version qu’on raconte aux copines au début d’une relation

« J’ai rencontré un mec. Ca se passe bien ouais. On se voit une ou deux fois par semaine tu vois, pas d’obligation, pas de malaise, pas de principes, pas de prises de tête. Ca me va bien. Ca me convient. Je suis contente quand je le vois. Quand je ne le vois pas je fais plein d’autres trucs, ça me laisse du temps pour moi. Non, c’est bien comme rythme, ça me va, c’est cool… »

 

La version qu’on raconte aux copines après quelques mois à ce régime

« Avec Machin ? Nan ça se passe toujours bien. Pareil. On se voit pareil. C’est cool. Tu veux sortir mardi ? Ouais chai pas y a peut être Machin qui va m’appeler, je peux pas trop prévoir là tu vois. Et là j’aimerai bien le voir parce qu’on se voit pas souvent, tu vois. C’est pas que je m’attache, c’est juste de la logique… Attends, ne quitte pas j’ai un double appel c’est sûrement lui…….. Allo ? Ah, non c’était pas lui. Le mieux c’est que je te rappelle quand j’ai plus de visibilité sur mon emploi du temps. Mais c’est cool hein. Sans prise de tête »

 

La version qu’on se raconte à nous-même au début d’une relation

« Il est pas mal Machin. Il me plait bien. Mais pas trop non plus c’est ça qui est cool. Comme ça, pas de prise de tête. On se voit de temps en temps, c’est exactement ce dont j’avais besoin. En même temps c’est clair, on n’est pas faits pour être ensemble. Enfin, pas vraiment. C’est pas totalement mon genre. En même temps je suis bien avec lui, c’est bizarre d’ailleurs, mieux qu’avec la plupart. Mais pas amoureuse non plus. Une relation sans prise de tête ça va être chouette. Pourvu que ça dure… Bon pourquoi il ne m’a pas rappelé là ? »

 

La version qu’on se raconte à nous-même après quelques mois à ce régime

« Je coooooooooomprennnnnnnnnnds pas ! Pourquoi il n’appelle pas plus souvent alors qu’on est si bien ensemble ? Pourquoi ? Il faut que je sache où on en est. Il faut que je pose les choses. On est en couple ou pas ? Pour moi on est en couple c’est clair. La relation, elle s’est transformée, là. C’est plus pareil qu’au début. Je me suis attachée la vache, je me suis attachée. Et lui peut-être pas. J’aurais du poser les choses dès le début. Pourquoi j’ai dit que j’étais cool, j’ai besoin d’un cadre, moi, j’ai besoin de savoir où j’en suis, de savoir si je m’investis ou pas, si ça devient sérieux ou pas. D’ailleurs je ne l’ai jamais trompé. Ca se trouve je perds mon temps. Il faut que je sache. La prochaine fois qu’on se voit je lui demande, et au pire j’arrête tout. Avant de vraiment m’attacher. »

 

Heureusement, ce qu’il y a de bien dans les débuts, c’est que ça a un côté exaltant aussi. Heureusement.

 

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31 janvier 2011 1 31 /01 /janvier /2011 18:08

Fashion_by_Darkness85bcn.jpgOn connaissait les escort girls, un peu moins les escort boys mais quand même on connaissait aussi. Voici maintenant les it-boys. Le it-boy, c’est comme le sac sur lequel on flashe depuis des mois, ou les chaussures qui nous font rêver : un accessoire totalement inutile donc indispensable. J’en veux un, bien sûr.

 

Alors, voilà. Tout est parti d'un site* qui vient de se lancer et qui loue les services de magnifiques garçons « pour 1h, une après midi ou une soirée ». Selon le site, le it-boy est le « must-have ultime pour parfaire une tenue, un style, ou une attitude ». Le it-boy, c’est vraiment un truc de pétasse. Or, des fois, j’aime bien faire ma pétasse.

 

Sur le site, ils disent qu’on a le droit de faire passer son it-boy de location pour son petit copain, mais à notre risque et péril parce que, rappelons-le, ce n’est pas son rôle non plus. Le it-boy est un accessoire de mode, rien de plus. Un accessoire à qui on a le droit de demander de jouer le rôle du petit ami, mais qui a le droit de refuser ou d’être mauvais acteur. Et là, pas possible de se faire rembourser le service.

Sur le site, ils disent aussi qu’on peut tout faire avec son it-boy « dans le cadre unique de son rôle : sublimer votre Look. », ce qui, quand on y réfléchit, est un peu limité. A moins de convaincre le it-boy que si c’est lui qui porte mes valises, ça me rend plus belle, que s’il me fait un massage, ça me rend sublime, et qu’une partie de jambes en l’air magnifie totalement mon teint, donc mon look… Je ne suis pas sûre que ça marche… En même temps, personne n’a dit que le it-boy devait être intelligent ni qu’il était entraîné à échapper à ce genre de manipulation perverse dont j’ai le secret. Sur un malentendu, donc…

Et sinon, il est formellement interdit de sous-louer son it-boy. Ils sont assez stricts sur ce site, j’ai l’impression…

 

Le problème, c’est qu’il y a plein de choses qui ne sont pas précisées concernant l’usage du it-boy. Par exemple :

-          Le it-boy peut-il parler ? Vu que sa vocation est uniquement d’être un accessoire de style, a-t-il le droit, ou la capacité de tenir une conversation ? A-t-il seulement le droit de répondre aux questions, lors d’une après-midi entre copines par exemple. Ou, au contraire, est-il tenu de se taire pour éviter les impairs ? D’ailleurs, le it-boy parle-t-il français ?

-          Doit-on nourrir le it-boy ?

-          Le it-boy peut-il exiger de s’assoir s’il est fatigué ? De boire s’il a soif ? Doit-on satisfaire les exigences du it-boy ou, au contraire, est-il à notre disposition totale et entière « dans le cadre unique de son rôle » ? (en bref, peut-on vaguement torturer le it-boy, du moment qu’il sublime notre look ?)

-          Le it-boy peut-il servir à porter nos emplettes ?

-          Certains it-boys ont-ils des options supplémentaires ? Par exemple, puis-je demander un it-boy sachant chanter pour une soirée Karaoké ? Un it-boy parlant russe ou chinois pour un diner d’affaire ? Un it-boy connaissant le videur de la boite ? (liste non exhaustive)

-          Enfin, plus important que tout : combien coûte le it-boy pour 1h, une après midi ou une soirée ?

 

*Pas de doute, my-it-boys.com a été créé pour faire un buzz. Je le sais, et pourtant, j’écris un truc dessus, honte à moi sûrement… Et, vu le design du site, on peut supputer (oui, supputer, parfaitement) que ce sont les mêmes qui ont créé Adopte Un Mec… Mais y a-t-il une vie près le buzz ? A savoir un vrai lancement d’un vrai site sur lequel on peut vraiment louer des vrais garçons ? A suivre…

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28 janvier 2011 5 28 /01 /janvier /2011 18:17

 Conversation_by_matteaton.jpgAvec Pastel, ça fait maintenant un an qu’on est ensemble. Et ces derniers temps, on se voit tous les jours. C’est un truc qui est arrivé subrepticement, sans qu’on s’y attende ni même qu’on s’en rende compte.

En général, c’est comme ça que ça se passe, les relations. En général.

Au début on tâtonne, on s’appelle au bout de trois jours, pas avant, surtout pas pauvresse !, on se voit une fois par semaine, timidement, on n’ose pas trop se dire qu’on se verrait bien plus, même si en vrai, on se verrait bien plus.

Et puis, quand on se sent un peu plus en confiance, on s’appelle tous les soirs. On se voit un jour sur deux. Les week-ends aussi.

Et, paf, sans qu’on s’en rende compte, on se voit tous les jours, une fois chez lui, une fois chez moi… et on ne se rappelle même plus comment c’était AVANT. Comment on faisait pour se voir aussi peu. Ni comment on a instauré ce rythme.

Bref.

Avec Pastel on en est là. On se voit tout le temps. Et on aime ça. Alors, forcément, à un moment donné…

 

Pastel : « On est bien tous les deux, non ? »

 

Pastille : « bah oui, on est bien »

 

Pastel : « Tu te rends compte qu’on se voit tous les jours ? En fait, on est tout le temps l’un chez l’autre… »

 

Pastille : « Oui je sais. C’est parce qu’on est bien » (ouais, Pastille elle tourne un en boucle peu des fois)

 

Pastel (bredouillant) : « bah justement, je me demandais… je me disais… Peut-être que… »

 

Pastille (tranquille): « … On pourrait habiter ensemble »

 

Pastel « … »

 

Pastel se décompose.

Pastel ne dit plus rien.

Pastel est tout pâle.

Pastel a l’air gravement déçu.

Voire, même, il a l’air d’avoir peur…

 

Pastille (perdant son insouciance) : « Ben quoi ? »

 

Pastille pense : « j’ai dit un truc qui fallait pas »

Pastille pense : « j’aurais mieux fait de me taire »

Pastille pense « Ca se trouve, c’est pas du tout ce qu’il voulait dire. Ca se trouve j’ai tout gâché. Ca se trouve, j’ai voulu aller trop vite. Ca se trouve, il voulait justement dire l’inverse… Ca se trouve… »

Pastille panique.

Pastille se décompose.

Pastille ne dit plus rien.

Pastille a l’air gravement déçue.

Voire, même, elle a l’air d’avoir peur.

 

Pastel (penaud) : « Tu m’as même pas laissé finir ma phrase… »

 

Pastille (déglutit) : « … »

 

Pastel : « C’est ce que je voulais dire mais comme tu l’as dit avant, c’est pas pareil… Comment t’as su que c’était ça que je voulais dire, hein ? »

 

Pastille pense : « J’aurais mieux fait de me taire, j’aurais mieux fait de me taire, moi et ma grande bouche, oh la la, j’aurais mieux fait de me taire. Ils le disent bien dans Les hommes viennent de Mars, les femmes viennent de Venus, qu’il faut toujours, toujours, toujours, que l’homme ait l’impression de prendre l’initiative. Ils le disent pourtant. Ils le disent. Mince ! »

 

Pastel (boude) : « Bah oui, j’aimerais bien qu’on habite ensemble. Mais tu m’as gâché le plaisir de te demander… »

 

Pastille : « Mais tu veux bien quand même ? »

 

Pastel : « Bah, si toi tu veux bien »

 

Pastille dit oui.

Pastille a eu chaud.

Pastille pense « Je ne finirais plus jamais ses phrases. Et je dirais toujours : « Tu veux bien sortir la poubelle s’il te plait ? » plutôt que « Tu peux sortir la poubelle s’il te plait ? ». Je lui donnerais toujours l’impression de prendre l’initiative. Toujours. Toujours. »

 

Ca tombe bien. On est en janvier. Le mois des bonnes résolutions. Celles qu’on tient. C’est bien connu.

 

Illustration :

 

 

 

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Présentation

  • : ChaBaDaBaDa
  • : Un homme et une femme... chabadabada... Ce blog a été créé par une célibataire qui en avait marre de ne rien comprendre aux relations hommes / femmes. Depuis la célibataire s'est mise en couple et a eu un enfant. C'est pas pour ça qu'elle comprend mieux ce qui se passe, alors elle continue à le raconter, à se poser des questions, et à rigoler parce que mince, c'est quand même assez poilant en général ces histoires de Mars et Venus.
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