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29 octobre 2011 6 29 /10 /octobre /2011 10:38

 viva_la_revolution_by_surrealistique-d3ipnjf.jpgJ’ai l’impression d’être un pirate sur mon propre blog.

Je fais un putsch.

Je putsche Chabadabada. Parfaitement. J’ai le droit c’est mon blog, je fais ce que je veux.

Ça m’est venu en surfant. Ça faisait longtemps que je n’étais pas allée sur les autres blogs, parce que quand je n’écris pas beaucoup, je culpabilise, et quand je visite les blogs de mes copines virtuelles et que je vois qu’elles, elles assurent niveau régularité dans leurs posts, ça me déprime. Du coup, ma solution est simple mais imparable : je fais l’autruche (si je n’y vais pas, ça n’existe pas. C’est pas très joli, je sais…).

Bref. Comme Chabadabada a repris un peu du poil de la bête ces derniers temps, je me suis autorisée à surfer sur le blog de Titiou. Titiou, à la base, c’est un peu mon double virtuel. On a créé notre blog à quelques mois d’écart. Toutes les deux après une rupture. Toutes les deux pour passer un peu nos nerfs, parler des hommes, du sexe et puis de plein d’autres choses en ce qui la concerne. Quand j’ai découvert le blog de Titiou je l’ai immédiatement trouvé géniale. Et elle, elle postait des commentaires sur Chabadabada, pour dire que j’étais géniale aussi. C’était le bon temps, on s’aimait virtuellement.

Et puis le temps a passé.

Comme d’habitude, je n’ai pas été stable dans ma relation avec mon blog. J’ai craindu comme on dit. En plus, Monsieur S (, , et aussi) a découvert mon blog. Ça m’a un peu perturbée. C’est devenu compliqué d’écrire sur mes relations avec les hommes, même passées (je suis quelqu’un de fidèle, ne soyez pas déçus), en sachant que Monsieur S, mon actuel, pouvait lire.

Surtout qu’il ne lisait pas bien en plus. Il prenait tout mal.

Ça a occasionné une petite pause du blog.

Plus tard, je me suis remise de mes émotions, et j’ai continué à poster mais sans parler de Monsieur S. En faisant des généralités pour éviter de vexer les susceptibilités. Ce n’était pas facile alors j’ai posté un peu moins quand même (je suis quelqu’un qui aime la facilité).

Et puis d’un coup j’ai arrêté. D’abord parce que c’était de plus en plus dur de raconter des trucs sans parler de Monsieur S, surtout qu’on avait emménagé ensemble entre temps (scoop !). Ensuite parce que je suis tombée enceinte (re-scoop ! C’est la fête.). Du coup, le blog, il est passé au second plan. Forcément.

Malgré tout, j’ai relancé Chabadabada au bout de sept mois de grossesse. Comme quoi, je ne suis pas si fainéante que ça finalement (et puis, on s’ennuie un peu pendant le congé mat’). C’est là que j’ai eu mon idée brillante de trois parisiennes à trois stades différents de leur existence. C’est là que j’ai créé mes nouveaux protagonistes.

Et on arrive maintenant au moment où je vais les tuer (j’ai le droit de vie et de mort sur qui je veux, j’ai accouché, plus rien ne me fais peur.)

Je tue donc Papouille, la célibataire, Pastille et Pastel, mon petit couple, et Papette et Papet, mon couple avec enfant. Je vais garder Minouche (depuis que je suis mère, je ne peux pas envisager une seconde de toucher un cheveu à un enfant. Je suis devenue très sensible à la cause enfantine. Je vais même faire un post là-dessus bientôt).

Elles étaient toute une certaine version de moi-même de toute façon.

Je croyais que c’était une bonne idée de dépersonnifier tout cela, que ce serait plus facile, que je pourrais écrire librement, mais non. Ce n’est pas que ce n’est pas facile. C’est que ce n’est pas intéressant. Je trouve.

Parce que Gwendoline, vous la connaissez, elle a posté 64 articles sur ce blog. Les autres, non. Les autres, ils débarquent, là, ils parlent de leurs enfants, de leur vie, de leur mec, on s’en fiche, non ? On ne les connaît pas ! (Gwendoline, elle parle d’elle à la troisième personne parce qu’elle a décidé de se la péter aujourd’hui. Elle a tous les droits aujourd’hui).

 

Bref. Je reprends la plume, seule. Ça ne m’empêchera pas de parler du célibat, et de la vie de couple sans enfant. J’assume ma skizophrénie.

 

Pourquoi, donc, tout est parti du blog de Titiou ? Parce que Titiou, elle n’a peut être pas fait d’enfant mais elle a vachement évoluée depuis le début. Elle est partie de surveillante dans un collège, à pigiste pour Slate, Grazia, et autres publications plutôt sympa, puis carrément à auteur de livre ! Titiou, elle a écrit un roman !

Ça m’a fait tilt d’un coup. Je me suis dit qu’il fallait que je me bouge. Que je reprenne les choses en main. Que je reprenne possession de mon blog. Que je fasse ce que j’ai envie. Ca ne veut pas dire que je vais écrire un roman, je ne sais pas si je suis claire...

Titiou, c’est un peu moi, mais en version vachement améliorée. La version 2.0 en gros. Moi, là, j’essaye d’atteindre péniblement une version 1.1.

Mais on va y arriver…

 

Illustration :

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14 janvier 2011 5 14 /01 /janvier /2011 16:51

_characters__by_Pocket_Zoo.jpgQui dit nouveau blog, dit nouveaux protagonistes. Voici donc une présentation / rappel des personnages (que vous pourrez retrouver ensuite dans la colonne dédiée, sur la droite. Dès fois que, comme chez Dostoïevski, soyons modeste, vous ayez du mal à vous y retrouver…)

 

Papouille : La célibataire du lot. Celle qui n’est pas forcément mécontente de son statut, qui drague à fond, qui s’amuse, qui aimerait bien avoir quelqu’un dans son lit parfois, mais parfois non. Et qui la plupart du temps n’a pas trop de problème de solitude affective non plus. Parce qu’être célibataire, ça ne veut pas forcément dire être seule. Ni être hystérique ou irresponsable, comme certains aimeraient vous le faire croire. Ca veut juste dire être célibataire, là maintenant, pas être en couple, quoi. Elle est toujours avec « un mec ». Le jour où ça deviendra sérieux, on vous préviendra…

 

 

Pastille : La casée du lot. En couple depuis un an, heureuse et amoureuse, mais qui découvre aussi parfois les affres de la vie conjugale. Parce que ce n’est pas toujours facile non plus d’emménager avec quelqu’un, et de vivre au quotidien avec lui. Surtout, dixit Pastille, quand il s’appelle Pastel (son mec, donc).

 

Pastel : Le mec de Pastille. Un super héros du quotidien, dixit himself. Une plaie mais je l’aime quand même, dixit Pastille. Un mec normal, en fait.

 

 

 

Papette : la mère du lot. En couple depuis 4 ans, un enfant. Jongle avec talent entre boulot et vie de famille. Grâce à elle, le mot talent prend plusieurs significations. Parfois, ça veut juste dire ce que ça veut dire, à savoir « aptitude remarquable dans un domaine ». Mais parfois, ça veut aussi dire plein d’autres trucs, et c’est ça aussi qui est formidable, comme « fatigue » (état de lassitude, avec une baisse plus ou moins prononcée des aptitudes physiques ou mentales), « ras-le-bol » (marre ! il y en a assez !), ou encore « hystérie » (névrose caractérisée par une exagération des modalités d'expression, pouvant se manifester par des crises convulsives, des attaques, etc. Au sens figuré vive excitation, frénésie)… et sûrement plein d’autres significations encore qui ne me viennent pas tout de suite à l’esprit là maintenant, mais qui changent au fil des journées (heures ? minutes ?) de la vie trépidante de Papette.

 

Papet : L’homme de la vie de Papette, le papa, l’homme de la maison, celui qui reste plus souvent au travail « mais c’est pour faire vivre la famille, mon amour, tu ne te rends pas compte » qu’à la maison « c’est pas que je fuis le bain de Minouche, j’adorerai lui faire prendre son bain, d’ailleurs je t’envie ces moment magnifiques et intimes que tu passes avec lui tous les jours tu ne te rends pas compte de ta chance ma chérie, mais le patron il veut pas que je parte à 18h, ni à 19h, ni même à 20h. Je pars à 20h30 et encore, je passe pour un fumiste, je te jure ». Mais à part ça, il est chouette quand même Papet, même que le dimanche il passe l’aspirateur et il veut bien aller au parc, alors j’exagère un peu.

 

Minouche : l’enfant de Papette et Papet. Passons sur les détails, vous le connaîtrez bien assez tôt.

 

 So' : Super copine célibataire de Gwendoline, c'est aussi la super copine célibataire de Papouille, Pastille et Papette (oui, c'est ce qu'on appelle un vrai groupe d'amies). Belle, intelligente, drôle (oui, tout ça) mais qui ne tombe que sur des neuneu (les neuneu sont attirés par la lumière)


Les amis de Gwendoline, ne les oublions pas, ce n’est pas parce que Gwendoline ne se montre plus que ses anciens personnages ont disparus (et ils peuvent revenir, on n’est à l’abri de rien) :

 

Monsieur S : L'homme qui a transformé Gwendoline, ex célibataire délurée, en adorable femme amoureuse. Et qui l'a du coup complètement bloquée au niveau de l'écriture de son blog. Oui, vous avez le droit de le détester pour ça...

 

Ex-ex : L'homme avec qui elle a vécu quatre ans

Special K : L'un de ses dernier ex (deux mois de grand amour passionné pour elle, d'histoire sans lendemain pour lui), qui l'obsède un peu. Baptisé comme ça parce qu'il est "comme les céréales, on croit que c'est bon et puis en fait non"

Q : L'un de ses meilleurs amis. Le type de base qui a du mal à comprendre les femmes. Casé depuis peu. 

Chou : Sa super copine pas tout à fait célibataire quoique pas vraiment en couple... C'est compliqué

Angel : Sa super copine qui n'est plus célibataire (ne le reste jamais longtemps). Véritable Dr Jeckyll et Mister Hide en soirée...

Tchi-Cha :
Sa super copine, célibataire, bourrée parfois. La pèche tout le temps ou presque, son modèle en fait

Mélodie : Sa super copine célibataire, qui collectionne les relations compliquées et a elle aussi un Special K dans la tête (pas le même, faut pas pousser, mais un modèle similaire)

Lilaï : Sa super copine en couple depuis 15 ans. Deux enfants. Un grand soutien pour elle...

 

Illustration :

 

 

 

 

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3 janvier 2011 1 03 /01 /janvier /2011 18:31

Parisian_Skies_by_AlbionDreamer.jpg

Comme vous avez pu le voir, mon blog a été laissé à l’abandon. Ne vous y trompez pas, pour une fois, ce n’était pas de la fainéantise, non, non, ni même un surplus de boulot par ailleurs, ou je ne sais quelle excuse plus ou moins valable. Là, j’avoue, la vérité était ailleurs. La vérité était existentielle : comment alimenter un blog de célibataire quand on n’est plus célibataire ? Comment continuer à raconter mes petites histoires, mes réflexions sur les relations hommes femmes, sans tomber dans le journal intime ? Comment continuer à être percutante, à ne pas me censurer, en sachant que Monsieur S lui même a désormais accès à ce blog ?

Bref.

Quelques milliards de réflexions plus tard (« Y a qu’à dire que c’est moi, mais en fait à raconter les histoires des copines »… « Y a qu’à parler uniquement des autres »… « Y a qu’à dire que c’est pas du tout chronologique et raconter des trucs qui me sont arrivés il y a deux ans, et ne plus parler de Monsieur S, et tant pis si les gens n’y comprennent rien »… « Y a qu’à… »), j’ai décidé de partir de cet ancien blog pour en créer un nouveau. Pas totalement différent non plus. Dans le même esprit. Mais qui correspond plus à la situation actuelle.

 

Un nouveau blog qui suivrait trois parisiennes, à des stades différents de leurs vies : une célibataire, une en couple, et une avec enfant. Un blog qui permettrait de continuer la réflexion sur les relations homme femme mais qui serait plus large. Qui aborderait aussi la vie de couple. Qui aborderait aussi la vie de famille. Qui continuerait à parler de la vie de célibataire. Parce que, qu’on soit en couple, célibataire, ou qu’on ait des enfants, faut pas se leurrer, on continue à se prendre la tête, à se poser des questions sur comment ça marche ces drôles de bestioles que sont les hommes.

Les trois parisiennes, c’est moi, mes copines, un petit mélange de nous toutes. Un blog aux multiples voix, donc, mais qui partirait toujours du réel, et qui serait toujours léger et drôle.

 

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23 janvier 2010 6 23 /01 /janvier /2010 01:41

frustrated by kitleenCa y est, j’ai tout compris. Je sais pourquoi Facebook tue l’amour. Je sais pourquoi Facebook est super efficace pour briser les couples ou pour transformer n’importe qui en affreux espion de ses ex ou de ses petits amis. J’ai tout compris grâce à LCI, ou iTélé, je ne sais plus trop.

Parce que l’autre jour, sur iTélé, ou LCI, il ont fait un court portrait du fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, 25 ans, milliardaire le plus jeune du monde grâce à son réseau social tout pourri qui vous plante un couple en moins de deux. Je savais déjà que Mark Zuckerberg était jeune. Je savais déjà qu’il était américain et qu’il avait été à Harvard. Je savais déjà aussi qu’il avait créé Facebook, à la base, comme un genre d’annuaire de promo, pour les gens de son école. Si cette version était juste, ok, on pourrait pardonner à Mark Zuckerberg d’avoir créé un outil diabolique. Mais pas du tout. Ce que je ne savais pas, en apprentie geek que je suis, c’est que Mark était un asocial, un rebut, un type qui n’avait pas d’amis, ou peu. Et qui était super frustré. Et qui était, très certainement même, puceau. Pas facile, quand on entre à la fac, c’est sûr.

Donc, avec toute sa frustration de jeune post pubère entouré de magnifiques étudiantes toute la journée, Mark se dit : « tiens je vais créer un genre d’annuaire où je vais compiler les photos de toutes les filles canons de l’université », histoire de pouvoir les avoir sous les yeux quand il veut, à défaut de les avoir sous la main. Après il se dit peut être aussi qu’il va se faire des potes en refilant l’adresse, limite il se dit même peut être que ça va le faire entrer dans la catégorie des gens cool. Et qui dit cool dit attirant. Donc dans le meilleur des cas, Mark devient cool grâce à son outil, il se met à fréquenter des gens cool, et donc il arrête d’être invisible aux yeux des filles. Dans le pire des cas, il a des photos de filles plein son ordinateur, et il peut les partager avec ses trois amis.

C’est sûrement ce que se dit Mark, donc, quand il créé Facebook. On connaît la suite. Ca marche tellement bien que très vite, tout le monde s’inscrit, ça déborde de la fac, ça déborde des Etats-Unis, ça devient le réseau social que la planète entière utilise, et Mark est peut être toujours puceau, mais il a plein de thûnes (à l’heure qu’il est il a sûrement trouvé une copine, parce que l’argent, ça rend cool. Aussi. Et même plus).

 

Bref, tout ça pour dire que c’est pas étonnant si Facebook brise plein de couples. Facebook, c’est un truc de frustré, à la base. Et Mark, ça se trouve, il avait vu bien plus loin que ce que tout le monde pense. Mark, ça se trouve, il avait voulu se venger de tous les gens heureux en amour, parce que y a pas de raison, avec tous les râteaux qu’il s’est pris, il faut que les autres payent. Donc, ça se trouve, il a réfléchi dans ce sens là. Il s’est demandé quel était le truc le plus nocif pour les couples, et il a répondu tout seul : « le manque de confiance. La trahison. La peur de la trahison. La jalousie ». Qu’est ce qui rendrait tous les couples dingues de jalousie ? « Le fait de savoir à qui l’autre parle toute la journée, qui il voit, ce qu’il fait, avec qui… en temps réel ». Et là, paf, Facebook.

Là où il est vraiment machiavélique, le petit Mark, c’est qu’il raconte à tout le monde qu’il a fait ça pour se faire des amis, pour que les gens se parlent, se rencontrent, se retrouvent… un vrai petit philanthrope. Alors qu’en vrai, les gens s’espionnent. Se méfient. Parce que, autant c’est facile de faire confiance à l’autre quand on ne sait rien, autant avec Facebook, même les moins jaloux deviennent hystériques. « C’est qui la pétasse qui a écrit sur ton mur, je ne la connais pas », « c’est qui cette meuf sur la photo ? », « pourquoi tu as accepté Marylin comme amie ? », « Comment ça se fait que tu reçois des « pokes » de partout ? ». Pfff.

Mark, il a bien réussi son coup. Non seulement maintenant, il peut choper qui il veut comme nana, non seulement il est blindé de thûnes et il n’a même plus besoin de travailler pour le restant de ses jours, mais en plus il s’est vengé de toute la gente féminine et de tous ceux qui, à l’inverse de lui, étaient doués pour l’amour.

En bref, Mark est une petite raclure. 

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frustrated by *kitleen on deviantART

 

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12 janvier 2010 2 12 /01 /janvier /2010 13:35
Slice of Prediction by ricolarrOui, bon je sais, ma « petite pause » s’est transformée en grande fainéantise qui a muté progressivement en « comment on fait pour écrire des trucs intelligents et marrants, déjà ? » puis en crise de culpabilité aigüe (non ne va même pas voir sur le blog ce qui s’y passe, à tous les coups y a plus personne qui vient de toute façon). Et puis un jour, aujourd’hui donc, paf, je reviens. Ah ! Vous n’y croyiez même plus vous-même je suis sûre, alors, hop, on fait la hola pour Gwen, on lève ses petits bras bien hauts et on crie « Youpi ! », tous ensemble, tous ensemble, ouais, ouais.

 

Tout ça pour dire qu’en décembre, j’ai lu mes horoscopes. Ne baissez pas vos petits bras trop vite, c’est super intéressant mes horoscopes. D’ailleurs, je ne sais pas si vous avez lu les vôtres, mais l’année 2010, c’est une année de bouleversement pour tous les signes, selon Grazia. Les planètes, elles bougent dans tous les sens, comme ça ne leur arrivera plus avant au moins trente ans, et du coup, ça affecte tout le monde. Bon y en a quelques uns, ça créé juste des débuts de bouleversement qui aboutiront en 2011, comme les Vierge par exemple, mais la plupart, c’est maintenant que ça se passe. Moi, je trouve ça pas mal, une année qui bouge. Ca me plait. J’aime bien quand il se passe des trucs.

Première chose en ce qui me concerne : le boulot. Tous mes horoscopes (Elle, Grazia et Glamour, pour être précise) sont d’accord, et ça veut forcément dire que c’est vrai. Ils disent en substance : votre boulot vous saoule, vous allez changer de boulot. Voire, même, changer carrément de voie. Quand je l’ai lu j’ai sauté de joie, parce que oui, mon boulot, j’en ai marre. Après, ça fait à peu près deux ans que je réfléchis à autre chose et que je ne trouve pas, mais bon, c’est dit, en 2010, je vais trouver. Avec un peu de chance, et moins de fainéantise, quelqu’un de vachement important va découvrir mon blog et je vais faire partie des dix blogueuses les plus influentes de tous les temps, ou écrire un livre, ou devenir la consultante de référence sur les relations homme femmes, ou écrire le scénario d’une série genre sex and the city et devenir riche et célèbre comme Candace Bushnell. Avec un peu de chance.

Après, côté sexe justement, mes horoscopes sont à nouveau d’accord. Et ils prédisent deux possibilités. Soit, mon mec me saoule, je vire mon mec (comme le boulot, paf, pas de détails cette année, ça me saoule, je change. Je suis comme ça moi.). Soit, mon mec ne me saoule pas alors je l’épouse (ou j’emménage avec, ça dépend si on est pour ou contre le mariage…). La deuxième solution me parait plutôt bien engagée (on relève ses petits bras et on fait une hola pour Monsieur S. Youhou !).

 

Alors, bien sûr, l’horoscope, on y croit ou on n’y croit pas. Mais l’avantage d’avoir un blog (et de tourner un peu en boucle, donc d’écrire le même article d’une année sur l’autre, mamie Gwen radote mais c’est pour son bien), c’est qu’on peut relire les prévisions de l’année précédente. Et bien à part Biba qui m’avait prédit une année médiocre où rien ne se passait, les autres avaient raison ! Les autres ils avaient dit que je rencontrerais un type plus vieux que moi, et que ça ferait une histoire sérieuse à l’arrivée. Ils avaient même dit que attention, je devais quand même résister à l’appel de la luxure pour conserver mon histoire sérieuse (Puce, si tu m’entends, sache que j’ai résisté à ton sex-appeal, non à cause de ton âge mais à cause de Glamour, ELLE, et Cosmo… si ça peut te rassurer). Après réflexion d’ailleurs, ça me fait un peu peur de voir qu’ils avaient raison, les magazines féminins, pour 2009, parce que quand même, j’ai toujours cru que c’était écrit par des stagiaires, la rubrique astro. On m’aurait menti, donc, et de vrais astrologue chevronnés regarderaient vraiment les planètes et en tireraient vraiment des conclusions exactes. Pfff. Mon système de valeur s’en trouve ébranlé.

 

En bref, 2010, ça va être terrible. Avec tout ça je ne sais pas si j’aurai le temps d’écrire pour mon blog, forcément, tous ces bouleversements, ça vous perturbe et ça vous mange du temps. Faudra pas m’en vouloir, je préfère prévenir tout de suite…

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24 décembre 2009 4 24 /12 /décembre /2009 14:48
Snore______by_black_racoon.jpgJe pensais pouvoir alimenter ce blog durant le mois de décembre, voire même pendant les vacances, mais entre le boulot, les cadeaux, les fêtes, et un bloquage forcé à Londres, j'abandonne.
Ce blog est donc en pause, pour une courte période...

Rendez-vous en janvier et bonnes fêtes !















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4 décembre 2009 5 04 /12 /décembre /2009 16:24

Ca peut paraitre bizarre comme interrogation, mais tout ça c’est la faute à Raphaël (parce qu’il n’y a pas que Jesus dans la vie…). Les hommes tombent-ils amoureux ? Ou plutôt, les hommes tombent-ils amoureux, comme nous ? Parce que voilà. Raphaël par exemple, il rencontre Isabelle. Il la trouve super, il lui envoie des milliers de textos par jour, il la voit souvent, et plus il la voit, plus il est bien. Il la trouve belle, elle le trouve beau. Il trouve qu’elle a de la conversation et en plus au lit, ça se passe bien. Raphaël a l’air de planer sur un petit nuage et d’être amoureux d’Isabelle. Et puis un jour, Isabelle le plaque. Bon, ça ne lui fait pas plaisir à Raphaël, c’est sûr, ça le surprend même, puisqu’il avait plutôt l’impression que ça se passait bien. Mais en même temps, voilà, il encaisse le truc, il dit « bon d’accord c’est fini entre nous, c’est bête mais c’est comme ça » et paf, il croise une fille, et paf, il chope son numéro, et paf, c’est reparti. Raphaël est à nouveau, immédiatement, dans le circuit.

Alors j’hésite entre dire « Chapeau Raphaël, c’est bien de se remettre vite, et puis effectivement, ça ne sert pas à grand-chose de pleurer », et dire « bah mince alors, c’est tout ? Isabelle, hop, oubliée aussi vite que ça ? ». Parce que mine de rien, si j’étais Isabelle, ça ne me ferait pas plaisir de passer à la trappe aussi vite. Flûte !

Après, il n’y a pas que Raphaël dans le genre. Il y a Monsieur S par exemple. Monsieur S qui, en moyenne, sur une vingtaine d’année, a du rester environ une journée célibataire. Une seule et malheureuse journée. Carrément. Puisque à chaque fois qu’il sort d’une histoire longue, paf, il enchaîne direct sur une autre (plus ou moins longue mais quand même). Limite, il fait le deuil de la relation précédente dans la suivante. J’en suis la preuve vivante, l’enchaînement direct derrière l’ex, et le deuil en live. C’est une expérience assez chouette pour la suivante d’ailleurs (moi, donc), merci Monsieur S (si jamais tu passes par là…).

A la différence de ces garçons, moi, j’ai toujours besoin d’un sas de décompression entre deux histoires. Pas forcément de m’apitoyer sur moi-même pendant des plombes non plus, mais au moins quelques mois, pour me reconstruire, savoir qui je suis toute seule et savoir ce que je veux maintenant. Et puis surtout, faire le deuil de ma relation, comprendre ce qui n’allait pas, penser à l’ex, le détester, l’aimer encore, lui en vouloir, lui souhaiter du malheur, lui souhaiter du bonheur tout ça.

Si je suis amoureuse, la relation ne s’arrête pas au moment où on a dit stop. Elle s’arrête un peu après.

Mais les hommes… S’ils passent à autre chose si vite, s’ils n’ont pas besoin d’un minimum de temps pour passer à autre chose, est-ce qu’ils sont vraiment amoureux quand même ? Est-ce qu’on peut zapper si vite une fille qu’on a aimé ou qu’on aime encore ? Ou est-ce qu’ils aiment différemment ? Et dans ce cas là, ça veut dire quoi « tomber amoureux » pour un homme ?

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26 novembre 2009 4 26 /11 /novembre /2009 15:56
Bon, une fois de plus, je vais mettre fin à un tabou, à une idée fausse ou à une idée reçue, ce qui est peu ou prou la même chose, je vais faire un post qui révolutionne votre life à tous, une fois de plus, Gwendoline est là pour éclairer le monde (wahou, je suis dans une forme éblouissante…).
Attention, révélation : non, la femme n’atteint pas l’orgasme à tous les coups. Je dirais même plus : il y a plein de femmes pour qui l’orgasme est assez rare*. Et, quand même, ça ne fait pas de mal de le dire parce que, quand même, je trouve qu’on est un peu culpabilisée, ou perdues, nous les filles, quand il s’agit d’orgasme.

Déjà, plus jeune, même si je n’étais pas vraiment en avance pour mon âge, j’en avais parlé avec une de mes copines qui venait d’avoir ses premières relations sexuelles. Je lui avais demandé si ça faisait mal, bien sûr, si elle avait saigné de partout, bien sûr encore, c’est normal, je me renseignais ça me faisait un peu flipper quand même vu que moi, je n’avais encore rien expérimenté.

Et puis surtout, je lui avais demandé si elle avait eu du plaisir. Et elle m’avait dit que ce n’était pas désagréable, loin de là, mais que d’orgasme, elle n’en avait pas vu la queue d’un. Après environ une dizaine de relations sexuelles avec son petit ami. Et là, inquiétude, horreur, panique : « mais c’est pas normal ! » j’avais dit en faisant genre que je m’y connaissais vachement. Moi, on m’avait dit, j’avais lu, que au départ ok ça pouvait être moyen, que ça pouvait même faire mal mais qu’au bout d’un moment, évidemment, ça devenait génial. Plaisir maximum, tout ça. Elle du coup, elle se disait qu’elle attendait un peu pour s’inquiéter vraiment, mais qu’elle se demandait si elle n’était pas frigide.

Alors déjà, frigide c’est un terme assez affreux qui ne se dit plus. Premièrement. Ensuite, mince alors, pourquoi on nous fait croire que c’est simple, immédiat et normal d’atteindre l’orgasme très rapidement ? C’est pour nous inquiéter quand on n’y arrive pas ? C’est pour qu’on apprenne à simuler très vite ? Je ne vois pas l’intérêt, là, franchement.

C’est d’autant moins intéressant que plus on y pense, à atteindre l’orgasme, moins on y arrive. Donc si on se prend la tête pendant l’amour en se disant « ouh la la je sens que ça vient » ou « quand est-ce que ça va venir ? » ou même « Je ressens un truc là… ah non c’est passé… pourquoi ça passe mince… flute j’y étais presque… c’est quand la vente privée Isabelle Marant déjà ? », on est sûre de ne jamais y arriver. C’est pervers comme système, mais c’est comme ça.

Depuis, j’ai moi-même expérimenté un certain nombre de relations sexuelles et mes copines aussi. J’en ai parlé plein de fois avec mes copines, et nous sommes toutes en mesure de dire que, même avec un peu d’expériences, et avec des partenaires différents, l’orgasme ne vient pas à tous les coups. Ce qui est bizarre, c’est que parfois il vient alors qu’on fait l’amour avec quelqu’un qu’on n’aime pas. Ou parfois, il vient au bout de deux minutes. Parfois, il arrive à terme. Parfois, il ne vient tout simplement pas. L’orgasme est un mystère. Et je ne connais pas une seule fille de mon entourage qui atteigne l’orgasme à tous les coups. Ni aucune fille qui sache comment l’obtenir. On est toutes étonnées et surprises quand il arrive.

Après, contrairement aux idées reçues toujours, wouhou, ne me remerciez pas, il est possible de prendre du plaisir sans orgasme (paf ! porte ouverte !). C’est moins fort, c’est sûr, le sentiment de bien être intense, voire de satiété qui l’accompagne n’est pas présent, mais c’est quand même très agréable. On dit ouf, n’est ce pas ?

Illustration:

 

*Selon les statistiques qui circulent sur le Net (ce qui est très loin d'être une donnée à prendre au pied de la lettre, on est d'accord), 35% des femmes disent avoir des orgasmes à chaque rapport. Bon ça fait quand même une sur 4. Peut-être que mes copines et moi on n'a pas de chance en fait...

Oups, autre chose que j'ai failli oublier et qui n'a absolument rien à voir avec l'orgasme (sauf si vous êtes très excité par le shopping, à la limite pourquoi pas), et que je ne fais absolument jamais d'habitude sur ce blog (ce qui veut dire que, pas la peine de me demander, c'est non) : allez-y cliquer sur ce lien qui permet à une de mes amies de postuler au second meilleur job du monde. Rien que ça oui, je sais, on se la pète...

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20 novembre 2009 5 20 /11 /novembre /2009 12:12

Lu sur le blog de Maïa Mazurette, cet extrait du Katasutra (dont l’une des co-auteur n’est autre que la grande Titiou… Ca y est j’ai linké de partout, j’arrête) :

Parfois je simule un peu parce que c’est vachement bien et que je veux juste l’encourager. Parfois je simule parce que ça m’excite et que ça me donne du coeur à l’ouvrage. Parfois, je simule parce que bon, déjà, j’avais pas envie donc c’est bien si ça ne dure pas des plombes. Parfois aussi, je simule parce que j’ai déjà eu un orgasme clitoridien et que ça m’a suffi. Je crois même que parfois je simule sans m’en rendre compte. Preuve que la simulation est quasiment une pratique sexuelle, une pratique secrète mais une pratique quand même.

Entre filles, l’omerta est moindre. Même s’il faut une certaine dose de complicité et/ou d’alcool pour avouer à ses copines qu’on en fait un peu beaucoup parfois… bon ok, qu’on fait semblant même. Et quand les langues se délient enfin, je suis ravie d’entendre que tout le monde simule. Oui, tout le monde. Voilà, c’est dit.

Oui, comment dire, voilà.

J’ajouterai que parfois, je simule parce que je sens que l’orgasme ne viendra pas, et que je sais que mon partenaire se retient à mort pour me faire plaisir, en attendant que mon orgasme arrive. Je simule, donc, pour le libérer, car je sais que ce n’est pas en faisant durer l’acte que ça va marcher (au contraire, au bout d’un moment ça risque même de ne plus être agréable, voire de brûler un peu, frottement oblige).

Alors, pas la peine de crier à la manipulation, ni de me faire des discours moraliste à la base de « dans le couple, il faut de la communication », « si tu n’as pas envie il faut le dire, c’est mieux », « si tu n’as pas d’orgasme, il faut que ton partenaire le sache, sinon comment peut-il s’améliorer ? ». Non, non et non. Je m’insurge. C’est bien beau les discours et les bons sentiments mais parfois, pour le bien du couple, c’est aussi bien de simuler.

Si on sait qu’on n’atteindra pas l’orgasme, quoi qu’il arrive, c’est une manière de libérer l’autre. Si on n’a pas envie, c’est parfois plus simple d’accepter un « quicky » qui fait plaisir à l’autre plutôt que de partir dans des explications sur la baisse de la libido. Si on a déjà eu un orgasme clitoridien, c’est pas une raison pour priver l’autre de son orgasme non plus.

Alors, je ne dis pas que simuler est forcément une attitude altruiste, faut pas pousser, on est sympa, nous les filles, mais on n’est pas des anges non plus. Et, ok, simuler à chaque fois, ça peut devenir embêtant, et il y a un moment où il va bien falloir régler le problème. Mais simuler de temps en temps, non seulement on le fait toutes, mais en plus, je suis persuadée que c’est, dans l’ensemble, ce qu’il y a de mieux pour la tranquillité du couple, pour son équilibre, et pour sa sérénité sexuelle.

 

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17 novembre 2009 2 17 /11 /novembre /2009 07:10

Tout le monde en parle en ce moment. Des chercheurs américains ont sorti une étude, Why Human Have Sex, qui liste les raisons qui poussent les hommes et les femmes à faire l’amour. Parce qu’il ne faut pas croire, ils ne font pas seulement l’amour par amour. Ce serait trop beau. Ils ont en tout 237 raisons d’avoir des relations sexuelles, aussi diverses que variées. Etonnamment, « exprimer son amour » n’arrive qu’en 5ème position pour les femmes (en 7ème pour les hommes).

Avant, il y a, dans l’ordre, l’attirance physique, l’expérimentation du plaisir physique, la sensation de bien-être, et l’affection. Ca parait assez logique, même si ça fait bizarre, pour une fille coincée comme moi, de se dire que l’amour n’est pas la principale raison de faire du sexe…

Après, sur les 237 motivations, il y en a certaines auxquelles je n’aurai pas pensé. « Se sentir plus proche de Dieu » par exemple, ça ne me serait pas venu à l’esprit (bon, je vous rassure, ça fait partie des raisons « les moins fréquentes »), « arrêter les douleurs dues aux règles » ou « refiler un herpès ou une maladie sexuellement transmissible » me parait un peu moyen… « Se réchauffer », « perdre des calories », « faire passer une migraine » me semble assez surprenant mais après tout, pourquoi pas. Gagner de l’argent, obtenir une promotion, font bien sûr partie des réponses, tout comme changer de sujet de conversation, ou se réconcilier après une dispute. Et puis il y a aussi des réponses comme « la personne me désirait vraiment », ou « la personne me faisait me sentir sexy », ou encore « je me sentais désolé(e) pour la personne ». On fait l’amour aussi pour faire plaisir, donc, par altruisme, mais sans en avoir grand chose à faire...

Du coup, je me suis demandé pourquoi, moi, je faisais l’amour. Parce que OK, c’est la toute première étude publiée sur le sujet, on s’était toujours dit que les gens faisaient l’amour par amour, ou par devoir conjugal à la limite, mais on ne s’était jamais vraiment posé la question. Alors qu’effectivement, maintenant que vous le dites, chercheurs américains, il est évident qu’il y a plein de raisons de faire l’amour, pas seulement les sentiments.

Moi par exemple, il y a des moments où j’ai besoin de faire l’amour. Un besoin physique. Au bout de deux mois et demi sans sexe, c’est précis, j’ai calculé, hop, j’ai les hormones en folie, je pourrais coucher avec le premier venu, ou presque. Je regarde les mecs dans le métro avec un œil qui dégouline de luxure (ouais, je sais, ça ne doit pas être très beau à voir), je manque de sauter sur mon DRH, bref, je me transforme en adolescente lubrique.

Après, avant même de tomber amoureuse, je fais l’amour parce que je désire l’autre, que je le trouve attirant. Parce que je l’aime bien. Parce que c’est une étape dans la relation. Parce qu’aussi, je suis curieuse de savoir ce qu’il donne au lit. Par curiosité, donc.

Et, la majorité du temps, par envie, par bonheur, parce que j’aime ça. Et parce que, si l’autre est un bon coup, c’est un moment de partage intense, voire une manière de communier (oups, Dieu es-tu là ?) et de communiquer avec son corps. Et, comme je suis un peu coincée, je n’ai jamais fait l’amour pour de l’argent, pour obtenir un cadeau ou pour manipuler mon partenaire. C’est mon côté fleur bleue.

Illustration :

 

 

 

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Présentation

  • : ChaBaDaBaDa
  • : Un homme et une femme... chabadabada... Ce blog a été créé par une célibataire qui en avait marre de ne rien comprendre aux relations hommes / femmes. Depuis la célibataire s'est mise en couple et a eu un enfant. C'est pas pour ça qu'elle comprend mieux ce qui se passe, alors elle continue à le raconter, à se poser des questions, et à rigoler parce que mince, c'est quand même assez poilant en général ces histoires de Mars et Venus.
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